à peine née, la compagnie french bee annonce des résultats positifs - crédit photo French Bee
Pour Sophie Hocquez, directrice commerciale de French Bee, l’arrivée en mai dernier de la compagnie low-cost long-courrier en Polynésie française, est déjà un succès. D’emblée, le marché aurait déjà cru de plus de 10%, d’après les premières estimations. Sur les premiers mois d’exploitation, le taux de remplissage des A350 de French Bee dépasserait aussi déjà les 80%, pour un bilan général « très bon ».
« Nous avons d’excellents retours de la part des acteurs du tourisme polynésiens, notamment de la part du secteur de la petite hôtellerie. Nous avons trouvé notre public, le marché ciblé est atteint », se réjouit Sophie Hocquez. « Nous avons eu des retours positifs même jusqu’aux îles Marquises, pourtant situées à plus de 3h30 de vols de Papeete ! ».
Désormais, alors qu’elle va recevoir son troisième Airbus A350 en juin 2019, la compagnie s’attelle à consolider sa position entre Paris, San-Francisco, et Tahiti. Une consolidation qui pourrait passer par une collaboration avec Air Tahiti, la compagnie domestique polynésienne. Des discussions sont en cours, confie la directrice commerciale de French Bee.
« Nous avons d’excellents retours de la part des acteurs du tourisme polynésiens, notamment de la part du secteur de la petite hôtellerie. Nous avons trouvé notre public, le marché ciblé est atteint », se réjouit Sophie Hocquez. « Nous avons eu des retours positifs même jusqu’aux îles Marquises, pourtant situées à plus de 3h30 de vols de Papeete ! ».
Désormais, alors qu’elle va recevoir son troisième Airbus A350 en juin 2019, la compagnie s’attelle à consolider sa position entre Paris, San-Francisco, et Tahiti. Une consolidation qui pourrait passer par une collaboration avec Air Tahiti, la compagnie domestique polynésienne. Des discussions sont en cours, confie la directrice commerciale de French Bee.
La route vers La Réunion grandit encore
Sur son autre ligne, qui relie Paris à l’île de la Réunion, les chiffres continuent aussi de satisfaire la direction de French Bee.
Après une arrivée fracassante, en juin 2017, sur cet axe très concurrentiel ou elle s’est octroyée d’office 15% de parts de marché, French Bee indique aujourd’hui qu’elle en tient 19%. Ce qui fait de la compagnie low cost du groupe Dubreuil, qui vole de 8 à 10 fois par semaine entre La Réunion et l’Europe, le 3e opérateur sur cette route, derrière Air Austral et Air France. « Par rapport à l’été 2017, la ligne a encore progressé de 8%. Notre taux de remplissage moyen dépasse maintenant les 80% », précise Sophie Hocquez.
Interrogée sur les rumeurs d’arrivée d’une nouvelle low-cost sur l’axe, la directrice commerciale relativise : « quand on voit que le marché continue de croître, cela prouve bien l’élasticité du trafic. Mais cela veut surtout dire qu’on a choisi la bonne ligne, qui attire les convoitises », sourit-elle.
Après une arrivée fracassante, en juin 2017, sur cet axe très concurrentiel ou elle s’est octroyée d’office 15% de parts de marché, French Bee indique aujourd’hui qu’elle en tient 19%. Ce qui fait de la compagnie low cost du groupe Dubreuil, qui vole de 8 à 10 fois par semaine entre La Réunion et l’Europe, le 3e opérateur sur cette route, derrière Air Austral et Air France. « Par rapport à l’été 2017, la ligne a encore progressé de 8%. Notre taux de remplissage moyen dépasse maintenant les 80% », précise Sophie Hocquez.
Interrogée sur les rumeurs d’arrivée d’une nouvelle low-cost sur l’axe, la directrice commerciale relativise : « quand on voit que le marché continue de croître, cela prouve bien l’élasticité du trafic. Mais cela veut surtout dire qu’on a choisi la bonne ligne, qui attire les convoitises », sourit-elle.